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mercredi 14 mars 2018

Toujours je connaîtrai  le son de ta voix tout à côté de tes silences et des couleurs du soir sur l'herbe bleue de l'été, les notes poignantes qui tournoient dans le parfum des arbres et l'écho creux de la balle frappant le sol de poudre rouge et la danse de ce qui a été et le poids de ton corps qui d'entre mes bras s'enfuit pour que naisse la douceur amère de la légèreté.

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